Peut-être qu’inconsciemment le comportement lié à ce futur mode de vie s’installe sans qu’on le veuille…
Peut-être aussi qu’inconsciemment ça fait peur, et du coup ça bloque un peu…
@ Leolu : jolie la référence musicale… ça fait plaisir de retrouver via le net des gens qui ont les mêmes références, même si la thématique de la chanson n’est pas vraiment le polyamour…
]]>je suis agréablement surprise de votre courage a parler de ça publiquement , et contente de voir des gens comme vous aujourd »hui , il y en a trop peu . les gens sont trop dur encore aujourd’hui les insultes fusent parfois trop.
Je parlais a un moment de sexe librement sur mon blog bd il ya 3 ans et j’ai eu le droit a des reflections type » va faire le trottoir sale p**** «
Merci pour votre jolie histoire!!
]]>Quand tu parles du fait de se projeter dans une sexualité de longue durée, je suis d’accord sur l’alternance de moments de calme et chauds. Je n’ai pas non plus tout le temps envie. Ma libido est normalement plutôt fluctuante et très régulée par rapport à mon travail et ma dose de travail.
Cependant là, pour moi, nous n’étions pas encore dans cette sexualité de longue durée à mes yeux. Certes, il y avait des projets, mais c’était encore une période de passion sensuelle et donc certainement pas de freinage de libido. ^^
]]>J’ai eu aussi l’occasion, ces derniers temps, de me poser des questions sur ma libido défaillante (temporairement).
J’en ai déduis qu’il m’avait manqué d’un peu de difficultés, d’attente et de culture de mon désir.
En fait, tout avait été trop facile : une partenaire disponible et très demandeuse, ne me demandant rien si ce n’est du sexe…
« Sans qu’on en parle ou qu’on y pense
Sans après promis ni juré
Ça n’a pas la moindre importance
Quand c’est l’amour qu’on aime aimer »
J’étais donc dans la situation idéale dont rêvent des tas d’hommes ! Pour une fois qu’on n’est pas obligé de batailler, d’attendre et d’espérer… Hé bien non, ma libido ne suivait plus.
On critique souvent ces « allumeuses » qui nous compliquent la vie… et lorsqu’on ne les a plus, elles nous manquent. C’est à n’y rien comprendre !
Sinon, il y a le fait que, lorsqu’on se projette dans une vie sexuelle de longue durée, on apprécie l’alternance de moments calmes et de moments chauds, les premiers rendant les seconds plus excitants.
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